Ce rapport d’Amnesty International examine comment les femmes et les filles au Burkina Faso sont insuffisamment protégées contre les mariages forcés et précoces et sont confrontées à des obstacles d’ordre financier et structurel pour accéder aux produits contraceptifs et notamment à la contraception d’urgence.
Il souligne comment le manque d’information au sujet de l’avortement sécurisé et son accès limité contribuent au nombre élevé de grossesses non désirées et à la mise en danger des femmes et des filles qui ont recours à des avortements à risques et clandestins.
Le rapport se conclut par des recommandations clés adressées aux différents ministères.