Le Liechtenstein s'est engagé à mettre fin aux mariages d'enfants, aux mariages précoces et aux mariages forcés d'ici 2030, conformément à la cible 5.3 des objectifs de développement durable.
Le gouvernement a présenté un examen national volontaire lors du forum politique de haut niveau de 2023; toutefois, le mariage des enfants n'y est pas mentionné.
Le Liechtenstein a coparrainé les résolutions suivantes du Conseil des droits de l'homme : la résolution procédurale de 2013 sur le mariage d'enfants, le mariage précoce et le mariage forcé, la résolution de 2015 sur le mariage d'enfants, le mariage précoce et le mariage forcé, la résolution de 2017 sur la reconnaissance de la nécessité de traiter la question du mariage d'enfants, le mariage précoce et le mariage forcé dans les contextes humanitaires, la résolution de 2019 sur les conséquences du mariage d'enfants, la résolution de 2021 sur le mariage d'enfants, le mariage précoce et le mariage forcé en temps de crise, y compris la pandémie de COVID-19, et la résolution de 2023 sur l'élimination et la prévention du mariage forcé En 2014, le Liechtenstein a également signé une déclaration commune au Conseil des droits de l'homme appelant à une résolution sur le mariage d'enfants.
Le Liechtenstein a coparrainé les résolutions 2013, 2014, 2016, 2018, 2020 et 2022 de l'Assemblée générale des Nations unies sur le mariage des enfants, le mariage précoce et le mariage forcé.
Le Liechtenstein a ratifié la Convention relative aux droits de l'enfant en 1995, que le Comité des droits de l'enfant a interprétée de manière à recommander l'établissement d'un âge minimum du mariage de 18 ans, et a adhéré à la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) en 1995, qui oblige les États à garantir le libre et plein consentement au mariage.
En 2021, le Liechtenstein a ratifié la Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique (connue sous le nom de Convention d'Istanbul), qui considère le mariage forcé comme une forme grave de violence à l'égard des femmes et des filles, et qui oblige légalement les États parties à criminaliser le fait de forcer intentionnellement un adulte ou un enfant à se marier.